J’ai courus à travers des champs et des rivières pour le plaisir de te satisfaire. Je répète chaque jour ton nom dans ma tête et je mis perd. Je pleur des gouttes qui s’effacent dans nos silences. Et la nuit nous appartient, dans ton aisance, tu exploites ce monde pour t’accaparer les regards, les danses provocantes, les vagues de plaisir qui nous enivrent et ton sourire... Ce monde est tien et la chaleur monte, ce monde est tien et on boit l’air jovial aux couleurs éblouissantes du superficiels, on boit la nuit, on broie la vie. Et on grise le temps à se tenir debout devant tous ces loups assoiffés de chairs, de sueurs et de bouffées anesthésiques. La danse ce peaufine sur les podiums, le reste semble léthargique et notre état robotique. La fièvre monte et l’alcool nous suit, nous dévore, nous guérit.