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Mes Songes

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Serein (1)
(5)
Souffle de confiance… (26)
Des Larmes ! (2)
~ On se cache pour pleurer…~ (20)
Lisenn : Hey, juste un bonjour en passant, ça me fait plaisir de te lire.
Le-Veilleur : Le plaisir est partagé Manon ...
indrae : parce que je ne suis plus sur joueb mais que je m'y balade malgré tout de temps à autre, tu as laissé un ptit mot chez moi, il y a peut-être longtemps je ne sais pas. Juste pour discuter, tes mots sont si jolis..
gribouillon : Mon petit ange...Je ne vais pas bien non plus aujourd'hui, je me sens désespérément seule et incomprise...J'e spère que nous retrouverons tous deux un sourires sur nos visages. Je t'embrasse, prends bien soin de toi...
gribouillon : tu me manques Juju...petite pensée...je t'embrasse :)
Songe : Un peu tard ou un peu tôt, j'espère que tes fêtes sont douces et j'y ajoute dans tous les cas une pensée pour les adoucir :)
nina : Un pti coucou en passant tres jolie blog !!
sali : diramitibn
c

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zakath-nath : Les Enfants de Dune
ultraball : MVP : Bilan et Palmarès de la saison 2166 (et des saisons précédentes)
castor : La blague de matheux du jour
parmakoma : Espars à Villefranche
pomita : Happy Mumday <3
clerando :
hlepage1 : Jardiner avec la Lune en 2024
bangg : They didn't talk about Shani Louk
Lundi (10/09/07)
Tu es le Ciel et l’Enfer.

Elle est de nouveau absente, et sans elle je suis de nouveau cet enfant. Je suis de nouveau ce clandestin de la vie. Sans elle je suis rien, un cœur qui s’étreint contre une chanson d’accord vibrant, qu’un pauvre violoniste joue dans une ruelle déserte de compassion, un cœur qui s’étreint contre une lumière brillante dont personne ne fait attention.  Je suis un passant comme un aveugle à la cour des miracles. Je suis trépassant comme un dépressif attaché à ses crises de folie. Sans toi je suis le simulacre d’une joie passé, j’erre d’une vie socialement déteinte avec des personnes vides.

A tes coté je suis le parfait gentleman, le tourbillon de bonheur. L’équilibre social, le protecteur… A tes cotés je suis ivre, je suis bien. A tes coté je pleure de rire, à tes coté je suis quelqu’un.

Prose de Le-Veilleur, dans la rubrique "Nostalgies".
(Publié à 01h 20mn - 0 commentaires)
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Lundi (27/08/07)
Violente Tendresse

Elle me manque... A ses cotés, le vent a tout emporté. 

Prose de Le-Veilleur, dans la rubrique "Nostalgies".
(Publié à 02h 26mn - 0 commentaires)
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Mon Ange

Je l'aime d'amour car je continu de rêver... Elle a ses cheveux de feu qui m’illumine quand mon coeur effleure le sol. J'ai pleuré d'un manque constant, qu'elle ma laissé. D'un manque caressant ses mains tremblantes et ses sourires de braises qu'elle te donne et qui s'efface aussitôt. Elle a cette saveur qui par ses lèvres s’accroît quand elle semble doucement se retiré. Maniéré comme une princesse, difficile sont les barrières à franchir, ces barrières de séduction qui la rende si inaccessible. Un coup voila ce qu'elle m'a fait, un coup sous la foudre et la pluie. Un coup brisant comme une larme. Elle est mon ange de beauté et de sagesse, mon ange de beauté, ma princesse. Les regard de velours on volé mes mots d'amours, j'ai préféré ces lèvres fine a ces étaux d'adresses. J'ai préféré la sensualité de sa peau à la tristesse de nos discoure. J'ai pressé ses regards silencieux et ses barrières de pastelles qui s’estompe dans ses yeux.

Prose de Le-Veilleur, dans la rubrique "Nostalgies".
(Publié à 02h 12mn - 0 commentaires)
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Jeudi (21/06/07)
Ardeur de vivre

J’ai courus à travers des champs et des rivières pour le plaisir de te satisfaire. Je répète chaque jour ton nom dans ma tête et je mis perd. Je pleur des gouttes qui s’effacent dans nos silences. Et la nuit nous appartient, dans ton aisance, tu exploites ce monde pour t’accaparer les regards, les danses provocantes, les vagues de plaisir qui nous enivrent et ton sourire... Ce monde est tien et la chaleur monte, ce monde est tien et on boit l’air jovial aux couleurs éblouissantes du superficiels, on boit la nuit, on broie la vie. Et on grise le temps à se tenir debout devant tous ces loups assoiffés de chairs, de sueurs et de bouffées anesthésiques. La danse ce peaufine sur les podiums, le reste semble léthargique et notre état robotique. La fièvre monte et l’alcool nous suit, nous dévore, nous guérit.

Prose de Le-Veilleur, dans la rubrique "Nostalgies".
(Publié à 22h 46mn - 2 commentaires)
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