Je suis le tumulte d'un mythe trop profond comme une pensée
infini, je suis ce que je ne suis pas mais si je suis ce que je ne suis pas,
qui suis-je ?
Un pantin d'une société de consommation, d'une société déshydraté de tendresse
et d'affection. Je suis ce que je suis parce que ce que je suis c'est ce qu'on
a voulu que je sois. Il y a ces règles, il y a ces lois et toi qui m'y extraits.
Peut être par évidence, peut être tout ça n'est qu'une abstraction, telle une
image sans raison. Et peut être que cette masturbation psychique n'a de raison,
du même faites que ta bouche manque a mes lèvres, du même faite que ta voix
manque a mes sonorités, que ton sourire manque au miens. Que ton charisme
manque à ma stupéfaction, que ton énergie manque à la mienne... seraient-ce un
amour véritable ou une abstraction funeste de croire en l'amoure, alors que mes
sentiments productif ne son que colère et souffrance.
Il y a une certitude, je souffre donc je suis. Suis-je seulement la substance pensante
qui pense, qui souffre ou suis-je seulement entrain d’appliquer le mécanisme
qui a appris à souffrir par la pensée.
Le bonheur m'écœure dans les yeux des autres, je vois le mien s'envoler
arbitrairement par le temps qui fuse. Mais ai-je déjà eu la sensation du
bonheur ou de l'amour, si j'ai pensé aux mots qui ne sont qu'abstractions
et que l'on peut remettre en question ? La réalité c'est que rien n'est exact.
Et que je ne peux dire concrètement si je suis heureux, malheureux ou amoureux.